Détatouage au laser et douleur : à quoi faut-il s’attendre ?
L’une des premières questions que se posent nos patient·e·s à Genève est souvent : “Est-ce que ça fait mal ?”
La réponse est oui… mais cela reste supportable et très bref. Le laser utilisé en détatouage, comme le PicoPlus® chez Reset Studio, envoie des impulsions ultra-courtes qui fragmentent les pigments sous la peau. Chaque impact peut donner une sensation de picotement ou de claquement élastique, comparable à un élastique tendu qui claque sur la peau.
Une douleur différente de celle d’un tatouage
Il est important de noter que la douleur du détatouage n’est pas la même que celle d’un tatouage. Elle est plus “vive” mais aussi beaucoup plus courte : une séance dure généralement entre 5 à 15 minutes selon la taille du tatouage. Certaines zones sensibles, comme les doigts, les côtes ou les chevilles, peuvent être plus inconfortables.
Une prise en charge de la douleur personnalisée
Chez Reset Studio, nous mettons un point d’honneur à vous proposer un protocole respectueux de votre seuil de tolérance :
Une crème anesthésiante peut être appliquée avant la séance si besoin (à prévoir 1 heure avant le rendez-vous)
Le laser PicoPlus® est équipé d’un système de refroidissement intégré qui apaise instantanément la peau
Une prise en charge médicale est assurée, avec la possibilité d’adapter l’intensité selon les cas
L’objectif n’est pas de vous faire souffrir, mais de vous accompagner dans les meilleures conditions.
Après la séance : sensation de chaleur et précautions
Après un traitement, il est courant de ressentir une sensation de chaleur, parfois comparable à un léger coup de soleil. Une crème apaisante est appliquée immédiatement après la séance. Dans les heures qui suivent, une rougeur ou de petites croûtes peuvent apparaître, mais cela fait partie du processus de régénération.
Et psychologiquement ?
Beaucoup de personnes redoutent la douleur… mais sont souvent agréablement surprises. Surtout, elles réalisent que la douleur d’une séance est bien plus courte et utile que celle de vivre avec un tatouage qu’on ne veut plus.